Brève histoire de soumise sexuelle louée à des inconnus

Catégories : Rencontres BDSM Femmes soumises sexuelles
il y a 5 ans

Je dois me rendre dans un hôtel qu’il a choisi avec mon corset, une robe et rien dessous. C’est un hôtel où on entre avec un code.

Une fois arrivée sans la chambre, je dois lui adresser un texto pour lui indiquer, puis me mettre nue et m’entraver. La position est simple mais rapidement inconfortable.

Je place la barre d’écartement qu’il a achetée sur ABCplaisir à mes chevilles. Je me mets à quatre pattes. J’enfile ma cagoule aveuglante qui laisse l’accès à la bouche. Je dois lubrifier mon anus et ma chatte et remettre le tube de lubrifiant qui doit toujours être posé à côté de moi avec des préservatifs et du sopalin pour les « « « clients » » ».

Ensuite toujours à quatre pattes, je passe mes mains entre mes jambes pour attraper les menottes qu’il a fixées à la barre avec une chaînette.

A chaque fois que je me livre corps et âme comme ça, quand je ferme les menottes sur mes poignets je me traite de folle. Au bout de quelques minutes, la tension monte, me sentir impuissante et offerte finit par m’exciter. Attendre est aussi inconfortable qu’excitant.

Je ne suis informée de l’arrivée du client qu’au bruit de la porte. Certains se déshabillent d’autres non. Quand ils se déshabillent, c’est un peu plus long, ils m’insultent parfois ou reste totalement silencieux. Je préfère quand il n’hésite pas à employer des mots grossiers, à voir à quoi ressemble la « salope » en me tripotant.

Très souvent ils se font sucer avant de me baiser, il faut bien mettre la chose en forme. Parfois ils sont b r u t a u x, parfois je dois « travailler » comme ils disent. Après c’est aléatoire, ils me baisent en deux temps trois mouvements, ou prennent leur temps ou sont des longs à jouir. Certains suivent sûrement à la lettre l’indication « les trois trous pour le même prix », Là il y a des fois où j’ai mal mais des fois où c’est sublime, cela fait parti du jeu, on ne peut pas savoir à l’avance. En anal, quand elle sont grosses et pas trop longues, j’arrive des fois à jouir du cul, el là je suis comblée, rire, comblée dans les deux sens du terme.

Pour la sécurité, c’est mon Maître qui donne le code à la personne devant la porte de l’hôtel, il a donc le numéro d’immatriculation de la voiture des personnes qui viennent. Pour l’argent, il ne veut que des pièces de monnaie, juste pour le bruit quelles font sur la petite table des chambres d’hôtel, un côté humiliant en plus qui l’amuse. En fait, la somme n’est pas un souci, même si c’est pour un ou deux euros nous nous en moquons, c’est juste que ces pièces font partie du jeu.

Au début nous étions libertins, mais cela nous a ennuyé rapidement, tout comme les gang bang. Là, nous y trouvons un plaisir différent basé sur le jeu de la prostitution et de la soumission sexuelle totale et BDSM. Par rapport aux gang bang, comme les mecs sont tout seuls, ils bandent mieux parce qu’ils ne sont pas gênés.

Mon plaisir, ou plutôt mes plaisirs portent en premier sur le fait de monter seule m’attacher et me livrer sur ordre de mon maître. Je ne jouis pas toujours même si je suis une vaginale comme on dit. Il y a des fois où les mecs baisent comme des dieux, ou plutôt comme j’aime, doucement au début et sauvagement à la fin. Dans ces moments où je perds la tête, je me sens chose, chienne, esclave et pute soumise, j’aimerai que cela dure toute la nuit.

Pour l’hygiène, mon Maître leur donne des gants en latex s’ils doivent mettre leurs doigts dans mes orifices et deux préservatifs en leur expliquant qu’on ne passe pas de derrière à devant sans en changer. Comme mon Maître ressemble physiquement à un grand bûcheron taillé dans un chêne centenaire, le savoir en bas devant la porte de l’hôtel doit freiner les fous car nous n’avons jamais eu de problème.

La fin de notre jeu a aussi son rituel. C’est mon Maître qui vient me libérer car je n’ai aucune des clés de mes entraves. En fonction de ses envies, assez souvent...., il profite de la pute soumise et heureuse d’être sa soumise. Je dois bien sûr tout lui raconter.....

Ecrivaillon

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